Au fil du temps, l’alimentation s’est tellement modifiée qu’elle est devenue moins adaptée aux besoins de l’organisme, car le patrimoine génétique de l’Homme avec un grand H, a peu changé.
De nombreux facteurs ont influencé cette évolution : plus de travail, moins de repos, moins de discipline et beaucoup d’auto-sabotage. L’alimentation actuelle, appelée aussi alimentation occidentale, est montrée du doigt par de nombreuses études scientifiques.
En effet, elle favorise nettement le développement et l’aggravation de toutes les maladies chroniques actuelles. Il est temps de réévaluer notre hygiène de vie, sans toutefois revenir à l’alimentation préhistorique.
Comment définir une nutrition multiculturelle ? Est-elle la même pour tous ? De nombreuses diètes font leurs preuves, dont la diète méditerranéenne qui est actuellement considérée comme le modèle alimentaire, le plus adéquat, associant santé et plaisir. Mais pour en tirer des bénéfices optimaux, il sera nécessaire de l’adapter à chacun.
Pour adopter une nutrition multiculturelle, la première étape est de s'informer et de s’ouvrir aux cultures étrangères.
1/ Les besoins nutritionnels
Une alimentation multiculturelle doit répondre aux besoins nutritionnels de l’organisme.Voici quelques points importants à retenir :
- Une grande richesse en antioxydants, vitamines et minéraux
- Une belle quantité de fibres, et notamment beaucoup de légumes, mais aussi des fruits, des légumineuses, des oléagineux.
- Suffisamment d’oméga-3, bien équilibré avec les apports d’oméga-6
- Une hydratation correcte, adaptée à la situation physique et au climat
- Des cuissons non-toxiques
- Un apport très modéré de glucides à index élevé, de graisses saturées, d’acides gras trans, d’oméga-6, de sel, de produits laitiers, de gluten, de produits animaux si vous êtes concernés, d’alcool, de café.
- Le moins possible d’additifs et de pesticides
- Le tout dans un respect global de l’hygiène de vie : temps et qualité de sommeil, activité physique, meilleure gestion du stress… etc.
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2/ La densité nutritionnelle
La densité nutritionnelle est une valeur importante à considérer ! De façon simplifiée, cela fait référence aux aliments les moins caloriques et les plus riches au niveau nutritionnel tels que les légumes et la plupart des fruits.
Les légumineuses et les oléagineux riches en calories et riches au niveau nutritionnel. Et enfin, les gâteaux, le sucre, les bonbons, le pain blanc et toutes les céréales raffinées qui sont caloriques et pauvres au niveau nutritionnel.
Tout comme nous sommes uniques, tout comme notre alimentation est censée l’être. C’est donc une nécessité d’adopter une alimentation individualisée et adaptée à chacun. Le choix des aliments, leur fréquence d’utilisation, leur quantité, pour assurer le bien-être d’un individu peuvent également varier.
Néanmoins, la connaissance des besoins de base est nécessaire pour aller vers l’alimentation adaptée à chacun. Les besoins nutritionnels devraient s’adapter à chaque individu en tenant compte de notre alimentation de base, de notre milieu social, de la situation médicale actuelle et passée.
Bien sûr, il faudrait s’adapter aux allergies et aux intolérances de chacun, au niveau de stress chronique... etc. Sans oublier bien évidemment la génétique, qui influence le patrimoine enzymatique jouant un grand rôle dans la digestion et l’absorption des nutriments.
3/ Apprendre à manger autrement et mieux !
Pour compenser le surcoût financier lié à la consommation des fruits et légumes, nous vous recommandons d’apprendre à manger autrement et encore plus savoureux !
Ce que vous devez garder en tête :
- Moins de fromages, de viandes (pour les concernés) et de plats préparés
- Revenir aux plats faits maison, cuisinés avec des aliments de base
- Plus de légumes secs, de céréales complètes, des œufs et des petits poissons gras comme des sardines et des maquereaux. Pour ces derniers produits cela dépendra de votre régime alimentaire (c’est-à-dire omnivore, flexitarien, végétarien, végétalien).
4/ Mélanger les cultures pour équilibrer son microbiote intestinal
Peu de personnes ont connaissance des pays d'origine de certains aliments. Et pourtant, lorsqu’on s’informe, on finit par se rendre compte que nombreux sont ceux qui sont adeptes de la nutrition multiculturelle.
Mélanger les cultures dans son alimentation permet d’équilibrer notre microbiote intestinal et surtout, de l’adapter à notre mode de vie. Lorsqu’on a vécu dans un continent différent et qu’on doit aller vers un autre, nos habitudes changent considérablement.
C’est pourquoi, nous recommandons de sortir de sa zone de confort, en cuisinant et en mangeant les plats de tout horizon. Et bien évidemment, de façon équilibrée en pleine conscience !
5/ Voyager pour découvrir des repas traditionnels et ancestraux
Voyager, c’est bien, mais déguster un savoir-faire culinaire ancestral, c’est mieux ! Miser sur un régime multiculturel aide à équilibrer son monde intérieur. En effet, de nos jours, il est tout à fait possible de faire le tour du monde en quelques mois. C’est une pratique qui se fait de plus en plus, que ce soit dans le cadre personnel ou professionnel.
C’est donc une nécessité de prendre le meilleur de l’alimentation des pays qui nous inspirent le plus, en l’adaptant à votre mode de vie.
Notre vision de la nutrition multiculturelle
Angela Anz, la fondatrice, vous accompagne pour vous faire (re)découvrir l’alimentation multiculturelle. L’adopter vous aidera à vous (R)Éveiller grâce aux bienfaits de la nutrition holistique. Prêts à passer le cap ? C’est parti !